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vendredi 7 décembre 2012

25 œuvres à voir (ou pas) à la FIAC 2012

Pour sa 39e édition, l'incontournable Foire internationale d'art contemporain (FIAC) accueille 182 galeries venant de 25 pays, sous la prestigieuse nef du Grand Palais, à Paris, jusqu'au 21 octobre. L'occasion de faire le point sur un marché foisonnant de diversité. La preuve en 25 œuvres qui interpellent.

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1/25 Dénoncer ou provoquer sont les créneaux phares de l'art contemporain. Depuis des années, le Chinois Wand Du s'interroge sur notre comportement à l'égard du "mass media" à travers installations et sculptures. ELODIE DROUARD / FTVI
2/25 "L'origine de la guerre" de l'artiste française Orlan. ELODIE DROUARD / FTVI
3/25 Les peintures ultra-réalistes de l'Américaine Betty Tompkins réalisées dans les années 70 n'ont été révélées que très récemment et frappent par leur impressionnante modernité.  ELODIE DROUARD
4/25 Les 81 polaroids de parties intimes masculines et féminines d'Andy Warhol, issus de la série "Sex Parts and Torsos", ont été réalisés à la fin des années 70. ELODIE DROUARD
5/25 Sobrement intitulée "Santa (with Butt Plug)" (Le père Noël avec un plug anal), cette sculpture en bronze de Paul McCarthy révolutionne le nain de jardin ! ELODIE DROUARD
6/25 Le sexe, l'argent... Autant de thèmes récurrents à la FIAC. Comme cette œuvre de l'Américain Tony Oursler qui explore les liens entre pouvoir et monnaie. ELODIE DROUARD
7/25 Cette œuvre en résine de l'artiste français Gilles Barbier intitulée "Soviet Suprême" s'est "vendue dans la seconde", lors de la première journée de la FIAC consacrée aux professionnels et collectionneurs. ELODIE DROUARD
8/25 Une étoile de David réalisée avec des matraques en plexiglas, ou comment l'artiste Kendell Geers dénonce la montée de l'extrême-droite en Israël. ELODIE DROUARD
9/25 Longue de près de 3 mètres, cette sculpture en silicone représentant George W. Bush en plein coït avec des porcs est à attribuer à l'américain Paul McCarthy. ELODIE DROUARD
10/25 La mappemonde du Brésilien Nelson Leirner ou la géopolitique expliquée par Bob l'éponge et Winnie l'Ourson. ELODIE DROUARD
11/25 "Yes", de l'artiste féministe britannique Sarah Lucas, est estimée à près de 50 000 euros. ELODIE DROUARD
12/25 Un portrait de Jackie Kennedy détourné par l'Ecossais Douglas Gordon. ELODIE DROUARD
13/25 "On n'imagine pas le nombre de personnes qui accrocheraient chez elles le tableau de la chaise électrique, surtout si les coloris de la toile s'harmonisent avec les rideaux", disait Andy Warhol. Si votre intérieur est vert, c'est l'occasion ou jamais d'investir.  ELODIE DROUARD
14/25 Pas de FIAC sans Picasso. Une autre valeur sûre bien représentée, tout comme Warhol. ELODIE DROUARD
15/25 Idem pour la photographe américaine Cindy Sherman, qui a toujours la cote auprès des collectionneurs fortunés. ELODIE DROUARD
16/25 Les sculptures hyperréalistes de l'Américain Duane Hanson sont toujours aussi dérangeantes. ELODIE DROUARD
17/25 La célèbre œuvre en néon du Gallois Cerith Wyn Evans. "Et si je ne te rencontre plus dans ce monde, alors je te, je te rencontrerai dans le prochain, et ne sois pas en retard, ne sois pas en retard..." ELODIE DROUARD
18/25 Un portrait très coloré, comme toutes les œuvres réalisées par le jeune peintre américain Kehinde Wiley. Wiley avait travaillé pour Puma lors de la Coupe du monde de football de 2010 en Afrique du Sud. ELODIE DROUARD
19/25 Louis XVI et Marie-Antoinette représentés sous forme d'épouvantails, une œuvre du Roumain Daniel Knorr. ELODIE DROUARD
20/25 La chaise à facettes de l'Ecossais Jim Lambie. ELODIE DROUARD
21/25 Connue pour avoir re-photographié les célèbres clichés de Walker Evans, l'Américaine Sherrie Levine fait aujourd'hui partie de la grande famille des artistes conceptuels. ELODIE DROUARD
22/25 "Le Tas de gravier" du Français Bernard Pagès. Intrigant. ELODIE DROUARD
23/25 Ananas, fleur et tendeur de vélo. Quand l'art contemporain va (trop) loin... ELODIE DROUARD
24/25 "Composez un poème" nous ordonne ce téléphone. ELODIE DROUARD
25/25 Ne quittez pas la FIAC sans avoir découvert cet hypnotisant mobile d'Elias Crespin, dont la poésie ne se perçoit qu'en mouvement,attendant de l'admirer au Grand Palais jusqu'au 21 octobre 2012.

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